Voivi d'autres Textes je voudrais envoyé au Culte
Lieu : Le bord de la falaise en surplomb de la grève.
L’homme sans visage, jeta un dernier regard derrière lui avant de rejoindre son frère. En bas sur la grève le débarquement commençait. Il durerait surement une bonne partie de la journée, voire même de la nuit. Bientôt d’autre frère fouleraient ce sol. L’homme sans visage ne pouvait que se sentir soulager de voire qu’elle serait bientôt là. En effet depuis qu’on l’avait envoyé sur l’Ile rejoindre l’autre frère, il avait été témoins de choses étrange certes mais il avait aussi senti que depuis son arrivé sur l’Ile le demi-orc semblait troubler. Bien sûre le vol de son collier l’avait mis en colère mais il y avait autre choses; peut-être des souvenirs douloureux hantaient-ils son esprit. Après tout ne lui avait-on pas dit que c’était en ce lieu que les deux avaient vu le jour. Enfin se disait-il, son retour pourrait peut être aidé le demi-orc à trouver la paix et son collier.... Il fallait donc repartir préparer ça venu. Confiant désormais que quoi qu’il arrive il n’était plus seul. À nouveau réuni, pour la réalisation de la prophétie. Cette dernière avait revu le jour en ces lieux après avoir été oublier par le commun des mortels pendant tant de siècles. Il était donc normal que c’est de ce lieu que se lève une aube nouvelle…
Lieu : La grève
Du haut du pont de son vaisseau amiral il observait le déroulement du débarquement. Tout allait bon train. Les maraudeurs était déjà parti en reconnaissances afin d’éviter toute mauvaise surprises. Les gardiens sans perdre un instant avaient sut sécuriser la plage sur des kilomètres a la ronde. Une avant-garde composée des deux sphères avait été envoyé préparer ça venu et rejoindre les frères déjà présents. Les acolytes s’occupaient de monter le campement et d’ériger les sanctuaires ainsi le grand cercle. Oui, tout allait bien, même la mer malgré sa colère n’avait pus les arrêter. En faites rien ne pouvaient plus arrêter les fils du feu sacré, gardiens des éléments serviteurs du verbe céleste. Même la mort ne serait les terrasser. Et ici sur se rocher, cette petit ile qui vit naître une parti de l’Ordre; l’aube aller se lever sur un nouveau monde. C’était ici que tout commencerait et tout finirait, c’est ce qu’ils lui avaient dit. Ils lui avaient ordonné de tout les réunir et de venir ici. Une fois ici ils lui montreraient à nouveau le chemin. Mais en attendent elle irait rencontrer les habitant de l’ile et voire qu’elle sort il leurs serait réserver. Elle était sa voix, elle serait se faire entendre, et en plus elle n’était pas en terre inconnu. C’est ainsi qu’à l’aube du deuxième jour elle parti escorter de l’ombre rejoindre l’escorte ainsi que son frère. Il n’était pas encore venu le temps ou lui marcherait vers les terres intérieurs, il attendrait qu’ils lui ordonnent, et alors telle un raz de marée rouge, l’ile serait submergé.